Michel Barnier et les couacs gouvernementaux : de l’art délicat du recadrage

Michel Barnier et les couacs gouvernementaux : de l’art délicat du recadrage

Au temps béni de la majorité absolue. Qu’il était simple pour un Premier ministre de diriger son gouvernement, lui-même soutenu par une armée de députés dociles. Cela filait droit et mouftait peu ! Jean-Pierre Chevènement avait théorisé cette verticalité, propre à la Ve République. “Un ministre, ça ferme ça gueule ou ça démissionne.” Mais c’était avant cette…